La meilleure manière de parler des Dandy Warhols est de citer le doux morceau qu’Anton Newcombe leur a composé: ‘Take my Money, Take my Time, Take my Sister, I don’t mind’. Ôtons deux secondes l’ironie de ces paroles pour qu’apparaisse la vérité: ce groupe, certes jamais assez psychédélique, se laisse toutefois écouter avec satisfaction. Ce qui n’est pas rien. C’est aussi l’occasion de te dire de regarder ‘Dig!’, pur documentaire trop d’la balle. Et que donc les Dandy Warhols passent à Zürich bientôt, en espérant que ta bagnole pourave tienne le coup jusque là.