La mouture ne change pas et le mot d’ordre reste bastonnade en règle. Des morceaux très courts, exécutés à cent à l’heure, des riffs taillés au couteau et des textes toujours autant revendicatifs. On ne se lasse pas d’entendre Jorg éructer sans jamais faiblir. Les sing-along et les chœurs en appui sont juste parfaits. Notons cette reprise de Motörhead du plus bel effet. The Casualties prouvent une fois de plus qu’il faudra encore compter sur le punk dans les prochaines années. [FG]