Y’a pas que du punk, du crust et du Hardcore aux Môles, il y aussi les soirées glam et Heavy et ce soir l’affiche est assez pointue pour vous en parler.
Formé en 2006 en Haute-Savoie, BLACK RAIN ne compte plus les concerts donnés en France, en Europe et dans le monde, en tête d’affiche ou en première partie d’Alice Cooper, de Scorpions, d’Europe, de Ugly Kid Joe… Avec déjà 5 albums au compteur, le combo vient d’ajouter un nouveau chapitre à sa carrière, acclamée par la presse et le public. Après deux albums produits par Jack Douglas (Aerosmith, John Lennon), nos quatre potes se sont retrouvés avec ce même plaisir de composer ensemble la musique qu’ils adoreraient entendre tous les jours à la radio : du hard rock aux refrains aussi accrocheurs que grisants. Comme si les années 80 qu’ils n’ont pas vraiment connus n’avaient pas fini d’exister. Certains pourrais penser peut-être que cette approche est dépassée, mais le succès actuel de la culture du revival dans le cinéma, les séries et la musique leur donnerait tort. Et c’est bien l’accueil du public qui est le dernier juge.
En la matière, ce nouvel album, intitulé « Dying Breed » est la plus grande réussite commerciale du groupe. Directement classé deuxième des ventes metal en France derrière leur aïeul Alice Cooper, il connait aussi un succès dans le reste du monde et arrive même à se hisser à la 26ème place, dans la même catégorie aux USA.
Composé et enregistré en Suède, le pays d’adoption du chanteur/guitariste Swan, ce nouvel album, est une sorte de réaction face aux tournures que la musique prend actuellement. Fatigués par les sons électro et RnB qui nous envahissent, frappés par le décès de leurs idoles qui ont marqués l’histoire du rock, harcelés par des types qui leur demandent pourquoi ils continuent d’avoir les cheveux longs, les 4 mecs de BlackRain se sentaient de plus en plus comme une sorte d’espèce en voie de disparition… « The last of their kind » comme ils le proclament sur la chanson titre de ce disque, qu’ils jouaient pour la première fois en public devant la foule de la Mainstage du Hellfest en juin dernier. L’un des points importants de ce disque est sans aucun doute le retour de Chris Laney (Crashdïet, Crazy Lixx, Pretty Maids) au poste de producteur, celui-là même qui avait réalisé « License to Thrill » en 2008. Ce disque est considéré par la plupart des fans du quatuor comme un album majeur de la vague du revival de la scène de hard rock des années 2010. Chris a vraiment compris l’essence même de BlackRain, le son, l’état d’esprit de ses membres et ça s’entend ! Les temps qui viennent s’annoncent chargés pour BlackRain qui compte bien défendre son nouvel opus sur scène, là où leurs compos prennent toute leur dimension.
http://blackrain.fr/wordpress/?fbclid=IwAR3fWbKBpEQNLOD-Pts_USFIS7ZRtjox2BLXVSLtBH1go-0oKhnLlvvGI-Y
COMTOIS RENDS-TOI !!! NENI MA FOI, tel est l’adage de la Franche Comté et s’il y a bien un groupe qui ne se rend pas c’est PHENIX. Depuis presque vingt ans, le groupe garde la flamme de son Metal bien vivante ! Avec un quatrième album baptisé « Ignition », c’est la mise à feu d’une nouvelle étape de son histoire. Le groupe est de retour dans sa formation des débuts et revient aux sources de la musique qu’il affectionne tout en proposant une large variété d’ambiances, du Heavy le plus direct aux morceaux épiques aux touches progressives en passant par les ballades atmosphériques. Servi par la production massive et dynamique de Man Fischer, le quintette offre aux amateurs de chansons énergiques et mélodiques un éventail de titres dont le pouvoir évocateur appelle à un voyage musical dans l’univers que PHENIX a su créer à l’aube du nouveau millénaire et renouveler depuis. Ignition débarque dans les bacs à l’aube des vingt ans du groupe : l’âge de raison ?
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Alors si tu es fan de Heavy et bien plus, si le glam veut encore dire quelque chose pour toi, ressort ta moumoutte, ton pantalon moulant et ramène ton cul !!
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