Album sorti originalement Le 21 FĂ©vrier 2001, cela ne nous rajeunit pas, certes, mais eux non plus đ .PrĂ©cision, je n’avais jamais Ă©coutĂ© l’album avant cette chronique, je connais le groupe par ces premiers albums. Les six albums prĂ© 2000, sont dans une veine doom/death/gothique, en gros c’est l’Ă©volution du son et des attentes d’un groupe qui a dĂ©butĂ© dans les annĂ©es 90.  Donc « Believe in Nothing », sonne vraiment bien, pas dans le style prĂ©citĂ©, plutĂŽt dans un genre « synthĂ© wave/new wave » ce qui n’a rien Ă voir avec leur glorieux passĂ©. Dans l’ensemble, les mĂ©lodies sont cools, le chant est vraiment bien. Les guitares sonnent comme des claviers, c’est-Ă -dire, ce n’est pas du gros riffs avec douze milles notes en trois secondes. Mais ce sont plus des gros accords plaquĂ©s tout le long des chansons.  Un titres ou deux commencent sur les chapeaux de roue, et se dĂ©gonflent sur l’arrivĂ©e du thĂšme principal,  et pas de rappel de l’ouverture dans la chanson. Dommage!
L’album est hyper produit, ca donne un son puissant, la voix est mise en avant, la basse manque de prĂ©sence, la batterie sonne! Mais ce n’est pas le type de son que j’apprĂ©cie.  Mais bon, faut pas ĂȘtre ChionosphĂ©rĂ©phile non plus, avec le temps, l’album s’apprĂ©cie!