Stravinsky Wellington, c’est le chat de Tobias Jundt, et Internet l’a bien démontré : les chats, c’est hyper tendance. Vénérés depuis l’Egypte antique, c’est ici une source d’inspiration pour le Bernois de naissance. Renouer avec ses instincts primitifs, tels sont les objectifs de ce cinquième album. Certains titres comme ‘White Noize’ ou ‘Melody X’ annonçaient une version plus mélancolique de Bonaparte, certains titres s’avèrent plus optimistes (‘Hey (is for Horses)’ ou encore ‘Let it Ring’, preuve que l’homme n’a pas perdu de son panache). Une baisse de tempo, et donc d’enthousiasme, est notable, et l’on se demande parfois s’il ne s’agit pas d’un journal intime plus que d’un album de groupe. Preuve en est avec le titre de fin ‘High Five in your Face’, chantée par sa fille.
Note : 2/5