Après avoir sorti ‘Lady In Gold’ l’année passée, les rockeurs-psychés de Blues Pills sortent ‘Lady In Gold – Live in Paris’, enregistré au Trianon. L’homme à la six-cordes Dorian Sorriaux revient sur leur addiction aux planches plutôt qu’aux studios sombres.
Résume cet album en 3 mots.
Dorian : Intense, énergique, live.
Vous avez déjà sorti un album live en 2015 : qu’est-ce qui vous attire dans ce format ?
On essaie toujours d’enregistrer cette texture ‘live’ lorsque l’on se penche sur un album. Mais lors d’un concert, on essaie surtout de prolonger nos morceaux, d’improviser plus et de se lâcher. On aime cette idée de partager une énergie plus brute et authentique avec nos fans, donc ça fait toujours plaisir d’envisager un album live, où on peut retrouver ces improvisations et moments plus spontanés.
Tu penses qu’enregistrer un album en studio est frustrant ?
Pas nécessairement, mais parfois tu peux juste te lâcher un peu plus en live. Quand tu enregistres un album en studio, il y a toujours un moment où tu dois mettre un terme et sceller le tout dans de l’ambre, sans retour possible.
Vous êtes attachés à ce son rétro, où les groupes s’éclatent sur un morceau pendant 15 minutes. Tu penses qu’il n’y a qu’en live que l’on peut vivre ce sentiment ?
Absolument ! Le live c’est une grande partie des seventies, on adore ce concept.
Tu penses que Blues Pills va se la jouer à la Metallica et faire un live en 3D rien que pour le cinéma ?
Ermmmm…. pas sûr ! (rires)
FICHE CD :
Nom de l’album : ‘Lady In Gold – Live In Paris’
Label : Nuclear Blast
Note : 5/5