Le grandissime Zakk Wylde, leader, chanteur, guitariste et compositeur de Black Label Society, nous livre le 10eme album de son groupe. Nouvel opus et nouveau membre puisque Dario Lorina a rejoint le groupe. Une production que j’attendais avec grande impatience étant donné que je suis un très grand fan de Zakk Fucking Wylde et de son incroyable carrière. Mais peut-être que j’en attendais de trop car je suis un peu déçu.
Bien que l’on y retrouve toujours des solos de guitares très impressionnants, et beaucoup d’émotion notamment grâce aux balades « Angel of Mercy » et « Scars », c’est davantage sur le plan vocal que ma déception est fondée. Dans les chansons à la musique plus violente, je ne retrouve pas la voix grave et puissante de Zakk Wylde qui m’a secoué lorsque j’ai commencé à m’intéresser à son groupe. Par moment c’est « moitié-moitié ». C’est-à-dire que pour certains couplets je ne suis pas emballé, mais les refrains sont un peu plus accrocheurs, et c’est justement cela qui fait que mon jugement de cet album n’est pas très clair. De plus, je dois malheureusement ajouter le fait que depuis que j’écoute du Black Label Society, c’est la première fois que je n’ai pas envie de faire du headbang sur un de ses albums. Et pour ce qui est des solos de guitares, en effet ils sont, comme je l’ai dit plus haut, « impressionnants » mais pas aussi bons que beaucoup de ceux que Zakk Wylde a pu créer depuis qu’il a été révélé par Ozzy Osbourne. Malgré tout ce n’est pas un mauvais album mais seulement j’ai été habitué à mieux.
Par conséquent, je recommande quand même cet album car tout n’est que question de point de vue, et aussi car après toutes ces années à composer, cette légende vivante qu’est Zakk Wylde continue de nous éblouir par son talent d’écriture.