C’est en cette soirée du 22 octobre qu’Osheaga nous présente YelaWolf au Métropolis. On peut apercevoir une salle pleine à craquer pour accueillir l’artiste. À peine les lumières fermées, le public se mis à crier de toute leur force. Après quelques mots de son DJ, YelaWolf rentre en scène et la salle se met directement dans l’ambiance en criant et dansant. C’est avec beaucoup d’énergie que le rappeur chante ses premières chansons et que l’on peut à peine entendre puisque la foule l’enterre en chantant plus fort que lui. Ce spectacle continu dans le même lancé tout au long de la soirée. On a à droit aux spectateurs qui dansent avec lui et qui l’encourage en levant les mains dans les airs en suivant le rythme de sa musique. On a même pu voir la foule sauter de tous côtés ensemble ce qui a créé un mosh-pit. YelaWolf a même grimpé sur les haut-parleurs pour que le public s’enflamme encore plus qu’il ne l’est, ce qui réussit à la perfection. Il nous a même donné un discours politique qui a insulté à quelques reprises Donald Trump ce qui a créé plusieurs cris d’approbation en tétant en accord avec ses propos. Les chansons plus fort en émotions de la part du public ont été Johnny Cash et Fuck You You too.
À la toute fin de la chanson Fuck you you too, il a fait crier la foule le titre de cette chanson pour ensuite dire que New York était meilleur. Ces mots ont fait en sorte que le public a un peu huée et qu’ils ont criée encore plus fort ce titre en donnant exactement ce que le chanteur recherchait. Les dernières chansons du show ont été encore plus fortes en énergie autant pour les spectateurs que pour le chanteur. Le rappel fut encore plus performant que le reste de la soirée ce qui a poussé la foule a donné tout ce qu’ils leur restent dans le ventre pour cette dernière chanson. Ce show a été une très grande réussite tout au long de la soirée, même pour les moins fan de rap. Il a réussi à rendre cette soirée inoubliable pour ses admirateurs qui ont fait le déplacement. Un grand merci à Osheaga et à YelaWolf de nous avoir permis d’avoir une soirée aussi divertissante.
Texte et photos: Helene Dickey
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