The Black Lips est un habitué de Montréal et une fois encore le band nous a offert une solide prestation.

Surfbort qui débute cette soirée est un groupe de Brooklyn, New York. Très difficile a catégorisé comme style de musique, un mélange de punk a la sauce Ramones et un son rock garage. Il m’a été très difficile pour moi de prendre de bons cliches pour vous, car il n’y avait presque pas de lumière et vue que j’avais droit qu’a 3 chansons de 2 minutes chaque le temps a passé très vite, surtout que la chanteuse sautait partout, on aurait dit Olive la femme de Popeye sur le speed. Dès après avoir rangé mon appareil, petit effeuillage de la chanteuse, ayant comme tenue, une culotte et une camisole. Les chansons sont courtes, mais sonne bien, elle déborde d’énergie en finissant même le concert en chantant dans la foule. Petite anecdote, un gars est monté sur la scène et c’est cassé une bouteille de bière sur la tête, sûrement après en avoir bue quelques-unes.

Les Black Lips viennent d’Atlanta et se définisse comme un groupe jouant du flower rock, le son a une ressemblance au groupe The Kinks des années 70. Le batteur est surement influencé des années 70 aussi, en le voyant avec son affro et son style vestimentaire de ces années. Je ne connaissais pas ce groupe, mais plusieurs fan était au rendez-vous, car dès les 1eres notes le plancher du National c’est mis a grouiller de partout et ce fut un bref séjour pour moi devant la scène pour prendre des clichés. Il y a eu plusieurs «stage dive» de la foule et pendant toute la soirée les fans sautaient partout, après avoir vue autant de spectacles, j’ai vu la guitare la plus laide qu’un guitariste peut avoir en forme de rectangle, ce qui m’a fait bien rire, ce qui m’a achalé un petit peu c’est quand il se mettait à chanter, un peu dur pour mes oreilles, mais le tout c’est rétablit quand le chanteur a repris sa place. Ce fut une bonne prestation de leur part.

Texte et photos: Sébastien Jetté

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