C’est à 19h tapant samedi soir que le groupe Post-Hardcore de Los Angeles Letlive dévièrge le show du Métropolis.
Si vous ne connaissez pas ça, prenez le temps LIVE pour aller les écouter et aller sur leur page Facebook pour la liker (Si vous aimez ça, bien entendu
Lien juste ici (www.facebook.com/theletlive ).
Sérieux ça rock, même s’il n’y avait que quelques centaines de personnes durant leur prestation, ils ont su donné le meilleur d’eux-mêmes. La présence sur scène est complètement débile, le chanteur a passé par bien des endroits avant de se retrouver sur la scène et ça parait. Il tripe, on tripe, j’ai capoté pis tu vas capoter. Je les découvrais ce soir-là et je n’ai pas pu m’empêcher d’aller les écouter dimanche en revenant de l’hôpital (Vous trouverai la raison un peu plus bas).
Jason Aalon Butler a réussi à venir chercher les sentiments de son publique juste avant de jouer leur chanson » Muther ‘‘, en parlant d’une erreur de diagnostic qui lui a fait croire qu’il allait mourir il y a de cela déjà plusieurs années (2004), ce qui ne fut pas le cas. Il semblait énormément content d’être en vie, de pouvoir vivre de sa passion qu’est la musique. C’était vraiment super comme moment.
Ce qui m’a le plus marqué de Letlive – J’ai compté et il doit avoir lancé son micro dans les airs en le laissant retomber par terre au moins une 10aine de fois durant le show.
En deuxième partie on avait un band que j’adore tout spécialement, originaire de Philadelphie……THE MENZINGERS !!!!!! Découverte de 2014 pour plusieurs grâce en majeur partie à leur 4e album »Rented world » ils ont su donné un show SUR LA COCHE. Les voix des chanteurs (Bin oui, ils sont 2) Tom May et Greg Barnett, aussi guitaristes du groupe, sont hallucinantes. À la fois punk-Rock d’influence plutôt indie ils savent faire bouger les gens avec leur mélodies et des paroles assez touchantes parlant de bien des étapes de vie en générale. Encore une fois, si vous ne connaissez pas, que vous n’avez pas pu assister au show, ou que simplement vous y étiez mais n’avez pas retenu les noms des groupes sur la liste du show, prenez le temps d’aller les découvrir et de liker leur page. Ces gars-là travaillent fort et méritent d’être entendu !
www.facebook.com/themenzingers
Ce qui m’a le plus marqué de leur Set – Un Couple, en amour, évidement aussi avec le band, qui dansait un beau slow dans le trash pendant la chanson de leur vidéoclip » Where Your Heartache Exists » C’était bin d’trop beau.
Finalement vers 21h15 (Assez de bonne heure quand même pour un show de samedi soir au Métropolis) Taking Back Dunday prend le dessus du show avec des écrans géants à droite et à gauche du drummer montrant des jeux de lumière et des motifs bougeants au rythme des sons. La Salle s’étaient rempli depuis Letlive. On voyait des jeunes crier à tue-tête , pratiquement pleurer , et d’autres plus loin, un peu plus vieux, assistant sans doute au show pour se rappeler de bons vieux souvenirs du secondaire , apprécier le show en regardant le chanteur »Adam Lazzara » se dandiner sur la scène.
Ils ont passé par tous les albums sans oublier les chansons Spin, Error – Operator ( T’sais, au début, quand j’vous parlais que j’avais fini à l’Hôpital, c’est que pendant cette chanson qui a marqué une partie de mon adolescence , j’ai décidé d’aller faire un tour dans le » Petit » trash , et imaginez-vous donc que j’ai été assez « badlucké » pour qu’un gars tombe devant moi juste en arrivant dedans , et se relève avec un mouvement que je ne peux expliquer , sa tête ou son coude , me heurtant le bas du nez et le renfonçant vers le haut … S’en suivi un robinet ( mon nez ) coulant abondamment de mon sang et bien sûr, la sécurité m’a pris en charge rendu au bar en arrière à moitié évanouie ) .
Je me rappelle avoir entendu leur hit » Cute Without the ‘‘E’’.
Mise à part mon histoire, les gens étaient heureux de les revoir, chantaient en choeur avec le groupe, c’était beau à voir.
Un samedi mémorable.
L’évènement marquant de leur set – Le sang, partout.
Et bref, j’ai fini à l’hôpital, j’ai dormi la bas, pis le lendemain matin enfin j’ai su que j’avais une fracture. Okay Bye.
Texte: Vanessa Boivin-Drolet
Photo: Vanwho Photographie