Alors que certains ont décidé de rester à la maison en ce samedi soir, nous sommes allés danser avec la formation OneRepublic au Colisée Pepsi de Québec dans le cadre de la tournée Native. Étant un des derniers concerts présentés sur cette glace, la rumeur voulant que Metallica en foule la scène en dernier (rumeur intensifié par Ryan Tedder), la boucle ne pouvait pas être mieux fermée avec une si belle soirée. Précédé à la dernière minute du chanteur Karim Ouellet et son band, le groupe américain nous plongea dans un univers de fête.
Ouvrant le bal avec Light It Up offert en ombre chinoise, une explosion de lumière accompagna la tombé du rideau blanc alors que la formation se présenta à nous avec toute l’énergie qui leur est reconnue. Tous furent plus que choyés alors que le chanteur s’adressa à la foule quelques fois en français à coup de <<merci>> et <<on vous adore>> et confirmant la préparation d’un quatrième album plus qu’attendu. Alors qu’ils auraient pu prioriser seulement leur dernier album, Native, OneRepublic performa, à notre plus grand plaisir, tous les titres que nous aimons tant entendre à la 
radio dont Stop and Stare, All the Right Moves, Feel Again dans compter leur plus grands titres du moment avec Counting Stars et Love Runs Out. Pour leur classique Apologize, violoncelle et piano était à l’honneur alors que tous se rassemblèrent sur la passerelle au centre de l’aréna, ajoutant en conclusion une reprise de la chanson Stay with Me de Sam Smith. Parlant de cover, la formation interpréta Budapest avec en arrière-plan diverses images de plusieurs villes du monde, terminant avec notre drapeau nationale qui souleva les cris. S’offrant une pause de quelques minutes, Le band revint en rappel avec leur dernière reprise, Wonderful World, et une explosion de confettis sur If I Lose Myself. Promettant de revenir dans la capitale question d’essayer le nouveau Centre Vidéotron, OneRepublic repart sous le tonnerre d’applaudissement après moins de 2h de performance.
Texte: Marie-Pier Faucher Bégin
Photos: Jessica Dufour
