Une voix suave, chaleureuse c’est d’abord comme ça que Journeyman charme les foules et quand s’ajoute les mélodies, le régal est complet ! Après avoir été sélectionné en finale du tremplin au Festival Vernier Sur Rock, Journeyman continue à parcourir les routes pour transmettre sa vibration.
Comment définis-tu ta musique ?
Unique j’espère ! Dur de se définir, mais je dirais simplement de la pop indépendante, ou de la chanson.
Des instants mémorables sur scène ?
Le Festival Zik en Ville cet été dans la ville de La Roche sur Foron, grand moment avec une version de Journeyman à 7 sur scène !
Comment en es-tu arrivé à la musique ?
Mon père est musicien, il chante très bien et a joué de la batterie et de la guitare. J’ai commencé le piano tout petit, puis j’ai réquisitionné sa vieille première guitare sur laquelle il a commencé.
Tes coups de coeur musicaux quand tu étais ado ?
Très vastes ! Les Guns’n Roses, Red Hot Chili Pepper, Faith No More, et tellement d’autres.
Pourquoi le nom »Journeyman » ?
C’est le titre d’un album d’Eric Clapton que j’aime beaucoup. Le concept du Journeyman, ou pèlerin / compagnon voyageur est synonyme du musicien qui sillonne la route pour transmettre ses vibrations, j’ai trouvé ça parfait comme nom de scène.
Les difficultés que tu rencontres en tant qu’artiste ?
L’auto-gestion et la grande liberté de choix, sont une chance mais sont parfois déroutantes. Les musiciens en 2021 gèrent un peu tous les aspects de leur carrière.
Comment t’es-tu adapté à la situation sanitaire (confinements…) et ce qu’il en est ressorti ?
J’ai fait beaucoup de live virtuels sur les réseaux, ça a créé une autre dynamique de création, assez intéressante. Et un cool rapport avec les auditeurs, brunch le dimanche matin en musique, ça aura été un beau partage.
Deux choses que tu adores :
Le chocolat, être sur scène.
Deux choses qui t’énervent :
Les politiques, le paquet de chocolat vide !
La situation la plus étrange / embarrassante vécue lors d’un concert :
Jouer dans une zone nature safe et aérée, mais avec des barrières partout, des restrictions sanitaires quasi militaires uniquement pour la partie concert, pendant que derrière nous une fête foraine battait son plein sans aucune restriction, ni entrée filtrée, ni masque, ni rien. C’était assez lunaire ! Hâte de retrouver des conditions décentes de jeu, et surtout du bon sens et un peu d’apaisement.
Tes actualités, projets...
Un album en cours de création, d’écriture. Le projet Journeyman s’étoffe en live de Richie Faret (harmonica), Jeremy Piau (percussions), Tof Mercier (mandoline) et plein d’invités, donc je bosse sur les prochains concerts. On est en train de mettre en place une série de concerts avec un tourneur français et on cherche un tourneur suisse. Du coup, si un tourneur Suisse, ou »booking agent » nous lit, on est prêt à sillonner ce beau pays et faire résonner les groove et les mots de Journeyman! [SR]